Il faut bien plus que quelques ingrédients pour concocter de bons plats. La cuisine domestique ou la restauration publique nécessite des outils d’excellente facture. Des outils capables de transformer quelques ingrédients épars en merveilleux souvenir gustatif. Parmi ces outils, figure en tête, le couteau japonais Sukenari, un couteau de pointe pour transformer chaque plat en œuvre d’art.
Caractéristiques
- Longueur de lame : 16,5 cm-27 cm
- Dureté de lame : 68 HRC et 66 HRC
- Type d’acier : SG2, ZDP-189 ou HAP-40
- Manche : en bois de palissandre, de magnolia, ou en bois d’ébène de macassar
Que faut-il savoir du couteau japonais Sukenari ?
Les couteaux japonais Sukenari nous viennent de la forge Sukenari située dans la préfecture de Toyama. Cette forge a été créée en 1933 par le maître forgeron, Hanaki Touchiki. C’est un forgeron émérite qui a appris les techniques traditionnelles de forge auprès d’autres grands noms de la coutellerie comme Masamoto. Les couteaux japonais sont donc forgés à la main, selon des pratiques artisanales datant de plusieurs siècles.
La fabrique est désormais conduite par la deuxième et la troisième génération de Houchiki. Elle continue cependant de perpétuer, à travers ces couteaux fabriqués au Japon, les méthodes artisanales d’antan, renforcées par des techniques innovantes nées de la diversification de l’acier.
Les lames des couteaux Sukenari sont modelées dans trois couches d’acier ZDP-189 ou HAP-40. Ce sont des poudres d’acier considérées comme les finitions les plus parfaites de l’acier. Elles offrent des duretés exceptionnelles de 66 et 68 HRC.
Les manches de ces couteaux traditionnels japonais, sont en bois de palissandre, de magnolia ou d’ébène de macassar.
Un couteau éminemment puissant et poplyvalent
La performance de ces couteaux de marque japonaise se mesure à la qualité de son tranchant. Plus une lame est coupante, plus elle est efficace. La dureté d’une lame est l’indicateur qui permet d’analyser son tranchant. Elle se mesure en degrés de Rockwell HRC. Une dureté minimale de 56 HRC est requise pour dire d’une lame qu’elle est tranchante.
Les couteaux Sukenari ont une dureté variable entre 66 et 68 HRC. Leurs lames sont donc extrêmement puissantes. Elles peuvent, de ce fait, servir à l’accomplissement de multiples tâches en cuisine. La découpe du poisson, du gibier ou de la volaille sera bien plus facile. Et le temps perdu à éplucher et émincer les légumes sera réduit.
Un couteau à usage interminable
Il ne sert à rien d’investir dans un matériel abordable mais de faible qualité. Les couteaux japonais efficaces sont aussi ceux qui résiste à l’usure du temps, aux attaques de l’eau ou de la chaleur, surtout en cuisine.
La résistance est fonction du taux de carbone et de chrome contenus dans l’acier de la lame du couteau. Le carbone et le chrome déterminent la dureté, l’élasticité et la résistivité à l’eau et au temps. Le chrome apporte la résistance à la corrosion.
L’acier est dit inoxydable dès 13 % de chrome. L’acier ZDP-189 renferme 3 % de carbone et 20 % de chrome. De tous les types d’aciers, le ZDP-189 est celui qui contient des teneurs aussi élevées. Les couteaux Sukenari sont donc conçus pour résister à l’usure, à la corrosion et à l’oxydation pendant et pour longtemps.
Points forts
- Entièrement fait main dans une forge traditionnelle
- Extrême dureté
- Lame au tranchant inégalé
- Résistance accrue à l’eau et à l’usure
- Manche traditionnel en bois
Points faibles
- Entretien minutieux
- Lave-vaisselle déconseillé
Notre avis
Entièrement forgés à la main selon des techniques de coutellerie traditionnelles, les couteaux japonais Sukenari séduisent par leurs performances et leur remarquable beauté. Les lames en acier ZDP-189 ou HAP-40 allient puissance et longévité. Elles sont aptes à effectuer des découpes fines ou grossières.
Les poignées des couteaux sont façonnées dans des essences nobles : les bois de palissandre, de magnolia ou d’ébène de macassar. Ces matériaux ajoutent aux couteaux leur durabilité et leur densité. La lame est séparée du manche par une mitre en corne de buffle, gage d’imperméabilité.
Notre verdict
Nous sommes en présence d’outils de coupes aux qualités exceptionnelles. Les couteaux japonais Sukenari n’ont pas leur pareil en termes de performance et de résistance. Chaque constituant, choisi en fonction de ses propriétés intrinsèques vient davantage renforcer une structure en acier déjà solide. Que dire des lames de ces couteaux ? Elles sont superbes.
Elles laissent des entailles profondes et fermes. La structure et le suc de chaque ingrédient culinaire sont préservés. Les manches des couteaux sont en bois. Ils tiennent bien dans la paume de la main. Les couteaux sont bien équilibrés.
Nous vous recommandons promptement ces couteaux. Cependant, ils ne seraient d’aucune utilité entre les mains de novices ou d’incultes en matière de cuisine ou de coutellerie. Les couteaux japonais Sukenari conviennent davantage à des professionnels de la cuisine asiatique, des experts culinaires en quête de précision, des amateurs de lames japonaises avides d’innovation et d’audace.
Un dernier conseil : Le couteau japonais Sukenari nécessite un lavage et un séchage soignés. Veillez à l’éloigner des autres couteaux au risque d’endommager sa lame.
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